Comment devenir les chouchous des banques
Vous avez un projet d’investir dans l’immobilier et comptiez bien bénéficier d’un crédit immobilier à 2 % ou moins de taux d’intérêt sur 20 ans. Et bien, sachez que ce sont les banques qui décident de ceux qui peuvent en profiter ou pas de ce crédit. C’est pourquoi de nombreux particuliers misent tous sur leur dossier afin d’avoir la possibilité de profiter de tel avantage. La question est comment faire.
Quand la localisation joue grand sur le taux
Ce n’est pas nouveau : plus une localité enregistre de banques, plus vous aurez de la chance de faire jouer la concurrence et donc avoir un crédit à taux plus intéressant. Ainsi, si vous faites une demande à Metz, par exemple, vous pouvez avoir plus d’avantages que si vous êtes un bon vivant de Nantes. En effet, les institutions bancaires à Metz se trouvent être plus nombreuses que celles dans cette dernière ville de France.
Tout dépend de votre revenu et de votre situation
Mais dans la mesure où vous ne pouvez pas grand-chose à votre résidence, vous ne pouvez faire autrement que d’être dans les petits papiers de la banque de votre région. Pour y parvenir, deux critères sont cruciaux : le revenu et la situation.
Les courtiers sont formels sur ce point. Vous ne pouvez aspirer à un crédit immobilier de 2 % ou moins sur 20 ans si vous ne disposez pas d’un minimum de revenu de 3 000 euros. Et encore, c’est la somme pour les célibataires. Si vous êtes en couples, 4 000 euros seront de rigueur.
En outre, le taux proposé par la banque diffère en fonction que vous comptiez devenir propriétaire pour la première fois ou non. À titre d’information, les crédits primo-accédants sont plus chers en taux que les secundo-accédant.
Le respect des délais de rétractation : une protection des emprunteurs
Mise en application en avril 2011, et renouvelée il y a peu de temps, la loi sur la protection des consommateurs se veut être le garant des risques de surendettement pour les particuliers. Surtout pour les types de crédit comme le credit renouvelable qui peuvent vite devenir un piège si l’on ne fait pas u minimum attention à ces dépenses. Ainsi, il a voulu donner force probante au respect des délais de rétractation de 7 jours ouvrables à compter de l’acceptation du prêt, ou 10 jours ouvrables à l’international afin que le client puisse prendre conscience des conséquences réelles de son emprunt avant le début du contrat. A noter que ce délai commence à partir de la réception d’une lettre recommandée envoyée par la banque. Le client aura donc l’occasion de bien peser le pour et le contre avant d’officialiser une quelconque signature.
Une difficulté à noter pour les deux côtés
Cependant, cette situation a créé des difficultés autant pour les emprunteurs que les organismes prêteurs.
Les clients, qui sont sûrs de leur décision mature et réfléchie, se plaignent de la lenteur des démarches. Si auparavant, les banques pouvaient libérer les fonds le jour même de l’acceptation de la demande, aujourd’hui il faudrait attendre une semaine, ce qui déplait les consommateurs. En outre, les banques craignent une concurrence déloyale des autres organismes de prêt qui pourrait fournir des prestations plus rapides en éludant la question du délai légal. Si vous avez besoin d’emprunter de l’argent rapidement, visiter notre site.